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 OFG Mag #5

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Jumbo
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MessageSujet: OFG Mag #5   OFG Mag #5 Icon_minitimeMar 6 Jan - 0:40

Le cinquième numéro de OFG Mag est bien avancé, mais en ce moment la progression est nulle...
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MessageSujet: Re: OFG Mag #5   OFG Mag #5 Icon_minitimeSam 17 Jan - 20:35

La progression a repris, et il ne reste que deux tests à mettre en page et tous les détails à finaliser.



TEST de GTA sur PC

J’ai longtemps été un défenseur des premiers GTA, à l’époque où on les massacrait à la gloire des épisodes III et plus. Si GTA2 conserve mes faveurs, Grand Theft Auto premier du nom et, à fortiori, son extension London 1969 (qui ne fait finalement qu’ajouter une ville), n’est plus à mes yeux que le jeu bancal et médiocre qu’il a toujours été.
Pourtant, comme je viens de le dire, j’étais plutôt fan à la base. J’ai découvert GTA, comme beaucoup à l’époque (sauf que moi c’était quand même quelques années plus tard), via sa démo culte. Le premier niveau, entièrement praticable, mais en temps limité (300 secondes si mes souvenirs sont bons). Y a pas à dire, la découverte du principe de GTA, quand on n’a pas dix ans, associé à l’effet démo*, ça poutre à fond les salsifis.

Pour ceux qui n’auraient jamais eu le plaisir de toucher à cette démo, voici à peu près ce qu’elle donne à voir. Vous êtes un malfrat lâché dans une grande ville américaine. Les rues et leur flot de voitures vous apparaissent plus comme un self-service que comme autre chose. Vous ne vous gênez donc pas pour vous servir et constatez – o joie – que vous pouvez écrabouiller le moindre badaud foulant le trottoir. Ça fait « sploutch » et ça laisse une belle flaque de sang gluant, trop cool.
Une flèche jaune vous indique en permanence la direction de téléphones publics qui permettent de déclencher des missions. Un malfrat placé plus haut dans la chaîne alimentaire vous donne alors des objectifs à remplir, que la flèche pointe désormais. Il faut parfois s’y rendre dans un temps limité, aussi y aller en voiture est fortement recommandé. Une fois arrivé, il faudra généralement récupérer une voiture, tuer quelqu’un ou faire exploser quelque chose. La mission remplie, on reçoit un beau paquet de fric.
La démo ne permet guère d’aller plus loin. Mais une fois que l’on a amassé une certaine somme de fric, il est possible de terminer le niveau. GTA permet de visiter trois villes, Liberty City, une simili-New York, San Andreas, un genre de San Francisco, et Vice City, un ersatz de Miami en plus trash. Chacune de ses villes comporte deux niveaux. Six niveaux au total, dont la difficulté est croissante (dès le troisième ça commence à être balèze).

Des caisses croupissent sur les trottoirs des villes (d’un niveau à l’autre, leur position est modifiée). Elles renferment divers bonus : vie supplémentaire, accélération, corruption de police, gilet pare-balles, armes… Ces dernières sont au nombre de quatre : pistolet, mitraillette, lance-flammes et lance-roquettes. Mais ne comptez pas trouver fréquemment des deux derniers modèles, vous n’aurez souvent à disposition que la misérable pétoire, complètement imprécise.

La particularité de GTA, tout le monde le sait, est de confronter le joueur aux forces de police. Plus on commet d’infractions (comme tuer un passant, faire péter une bagnole, voler une voiture…), plus la police recherche le joueur. Ceci est visible grâce aux têtes de flics en haut de l’écran. Lorsqu’il n’y en a qu’une, les policiers tenteront simplement d’arrêter le joueur, mais bien vite ils ne chercheront qu’à le tuer. On verra donc des barrages se former sur les grandes avenues, avec officiers armés de mitraillettes, et des voitures patrouiller dans tous les sens. Heureusement il est possible d’échapper aux « cops » sans violence : en récupérant le bonus corruption de poulet ou en allant repeindre sa caisse dans un atelier. Mais en général, on se fait descendre avant.
En fait, on se fait souvent descendre dans GTA. À moins de posséder un gilet pare-balles, une bastos suffit à envoyer le joueur ad patres. Et vu le nombre de gangsters et de flics à affronter, mieux vaut s’appeler Keanu Reeves pour espérer ne pas avoir à recommencer chaque niveau vingt fois.

On peut donc passer de bons moments avec GTA, et il ne manque pas non plus de points positifs, comme sa bande-son : la plupart des voitures disposent d’un autoradio, et l’on peut alors écouter diverses stations diffusant rap, trance, pop ou country. L’ambiance sonore de la ville est d’ailleurs très réussie et on s’y croit vraiment.
Si techniquement, GTA est un peu à la rue, le design des villes est réussi : Liberty City et ses ruelles crades, ses docks et ses parcs, San Andreas et son quartier chinois et sa marina, Vice City et ses terrains de baskets malfamés, ses murs tagués et ses routes bordées d’hôtels qui mènent à la plage… Les couleurs sont très jolies et pétantes, les bâtiments et les voitures sont variés. On pourra regretter que Liberty City et San Andreas soient un peu monotones, mais ça reste insignifiant.
Il est donc plus que dommage de constater, qu’au final, GTA est répétitif, pas toujours jouable et difficile (le système de vies est horrible, on meurt bien trop souvent).

5/10
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